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Également connue sous le nom de tennis elbow, l’épicondylite est une affection douloureuse qui touche le coude. Elle est généralement causée par une inflammation des tendons qui se trouvent entre les muscles de l’avant-bras et l’os de l’épicondyle. Poursuivez la lecture de cet article pour découvrir les causes et solutions de l’épicondylite.
Épicondylite : qu’est-ce que c’est ?
L’épicondylite est une inflammation d’un tendon qui se trouve entre les muscles et les os. Vous pouvez consulter le blog féminin pour approfondir votre connaissance sur cette maladie. Il s’agit d’une pathologie très douloureuse. Cependant, elle se présente sous deux formes. Il s’agit de l’épicondylite médiale et de l’épicondylite latérale.
En réalité, l’épicondylite médiale affecte très souvent la face interne du coude. Cette lésion est une forme d’inflammation qui empêche l’articulation du coude lors de la palpation. L’épicondylite latérale, également appelée Tennis-elbow est caractérisée par des lésions au niveau de la face externe du coude.
Les causes de l’épicondylite
En réalité, les blessures, le gonflement et une incapacité d’exécuter des tâches professionnelles sont autant les caractéristiques de l’épicondylite. La préhension, l’extension brutale et la torsion répétitive sont des actions qui créent des microtraumatismes au niveau des tendons. Les petites déchirures du tendon entrainent ainsi le mécanisme inflammatoire.
Ce mal touche la majorité des personnes qui exercent des activités nécessitant des gestes répétés du poignet et de l’avant-bras. Ces activités relèvent des métiers de la manutention, notamment la peinture, le bricolage, le jardinage, la mécanique et autres.
Comment soigner l’épicondylite ?
Le meilleur traitement pour finir avec une tendinophathie, c’est de faire reposer l’articulation. De ce fait, il faut nécessairement envisager un arrêt d’activité. Que cette activité soit professionnelle ou sportive, de 4 à 6 semaines est le temps idéal d’arrêt de travail.
Dès les premiers symptômes, vous devez consulter un médecin pour diagnostiquer le problème. Ce faisant, vous serez orienté vers le traitement adéquat. La limitation des activités à risques, l’attelle, la kinésithérapie, l’injection et la chirurgie sont des exemples de traitement parmi tant d’autres.